🧠 Et chez les humains ?

Les neurosciences et la physique quantique commencent à explorer les champs électromagnétiques humains. Le cœur, par exemple, génère un champ mesurable à plusieurs mètres du corps. Ce champ influence celui des autres — c’est ce qu’on appelle la cohérence cardiaque sociale.

Des études en psychologie énergétique (notamment celles du Dr Joe Dispenza et du HeartMath Institute) montrent que les émotions ont une fréquence mesurable, et que ces fréquences peuvent être captées par autrui.

« Le corps humain fonctionne un peu comme une plante. Il capte l’énergie nécessaire pour alimenter ses états émotionnels, et cette essence peut dynamiser les cellules. »

🧌 Le vampirisme énergétique : mythe ou réalité ?

Certaines personnes, souvent sans en avoir conscience, absorbent l’énergie des autres pour compenser un déséquilibre intérieur. Ce phénomène, que l’on appelle parfois “vampirisme énergétique”, n’est pas une malveillance volontaire, mais plutôt le reflet d’un manque de connexion à soi.

Ces individus peuvent être en état de fragmentation émotionnelle : anxiété chronique, blessures non résolues, dépendance affective… Leur propre “source” — cette énergie intérieure nourrie par l’amour, la paix, la sécurité — est affaiblie ou inaccessible. Alors, instinctivement, ils cherchent à se recharger auprès des autres.

« Ce que je ne trouve pas en moi, je le cherche autour de moi. » — sagesse intuitive

Ce mécanisme peut se manifester par :

• Une fatigue soudaine après une interaction
• Un sentiment de “vidage” ou de confusion
• Une difficulté à rester centré.e en présence de certaines personnes

Ces comportements traduisent souvent une souffrance, une quête de lumière. Et chacun peut, à un moment donné, se retrouver dans cette posture.

Car il est possible, souhaitable même, de préserver son espace vital, de renforcer son aura, et de se reconnecter à sa propre source.